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  • : Bienvenue sur Concerts-Review, le blog des critiques de concerts. Nous mettons en ligne quelques critiques subjectives des concerts auxquels nous assistons. N'hésitez pas à nous contredire à travers vos commentaires.
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21 décembre 2014 7 21 /12 /décembre /2014 07:11

Alzheimer et un cancer de l'oesophage ont eu raison du peetvader du folk gantois.

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Walter De Buck avait 80 ans et luttait depuis un bon bout de temps contre la maladie.

Le sculpteur de talent fonde en 1962 la vzw 't Trefpunt avec quelques copains, ce sont eux qui quelques années plus tard sauvent les Gentse Feesten d'une mort lente.

Le volkszanger versatile ( dessinateur, sculpteur, peintre, dramaturge...) nous laisse une douzaine d'albums bourrés de titres illustrant son engagement social et politique , son amour des traditions ou  du plat Gents...

Gand perd un de ses enfants les plus brillants!

 

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20 décembre 2014 6 20 /12 /décembre /2014 21:35

Warning: this is not a countdown. Not a Top 20.

 

 '68 - In Humor and Sadness

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Genre: Noise rock

 

With all the grunge revival around this year, partially erupting from the commemoration of 20 years of Cobain’s death, partially due to Nirvana’s Hall of Fame’s induction and most probably to the awakening other grunge band members, here it is an album which raises above any resemblance to the genre, but still goes as close as it gets to the notorious Nirvana’s Bleach.

 

 

Immediately after his former mathcore band The Chariot broke up, Josh Scogin started working on a duo project called 68, with the drummer Michael McClellan. In Humor and Sadness started off from a couple of songs which did not really fit in The Chariot and became a concept album.

 

 

The record does not fit in any styles coming out from the music scene nowadays either. The songs are spontaneous, noisy and desperate, garage like, melodic and brutal with plenty of influences from the noise rock scene. The title tracks are numbers from one to ten and all together spell “Regret not.”

 

 

Noise fans might like it, hardcore fans might hate it. It does not matter as it’s one of the most interesting releases of this year

 

 

Tracklist:

 

Track 1: R

Track 2: E

Track 3: G (feat B. from Birds in Row)

Track 4: R

Track 5: E

Track 6: T

Track 7: N

Track 8: O

Track 9: T

Track 10: .

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20 décembre 2014 6 20 /12 /décembre /2014 16:27

 

Agharti - Sercati au Rock Classic, Bruxelles, le 20 décembre 2014.

Une organisation Soirées Cerises/ Sylvie Frère.
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En principe l'affiche du  Rock Classic prévoyait Agharti et Azylya,seulement une dizaine de jours avant le gig les musiciens d'Azylya lâchent leur frontwoman, Jamie-Lee Smit.
Pas une sinécure de dénicher un remplaçant du même calibre, le choix se porte sur Sercati!
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 Sercati
Non, ce ne sont pas des copains de Marc Aryan, le trio de  Verviers - Pepinster - Theux, né en 2009, pratique un melodic metal, tendance progrock,  bien propre et consciencieux.
DSC03088.JPGPoint positif: de bonnes compos n'agressant pas tes oreilles.
Reproches: présence scénique inexistante, un chant caverneux et monocorde qui agace dès le second morceau et un usage excessif de bandes pré-enregistrées, quand sur scène tu vois un trio basse/guitare/batterie, il est parfaitement inacceptable d'entendre une musique principalement axée sur les claviers.
Steve "Serpent" Fabry - Bass, Vocals/ Yannick Martin - Drums, Backing Vocals et Olivier Clément - Lead Guitar ont été abandonnés par Damien Snyers, l'organiste, il y a pas mal de temps.
Enregistrements?
Deux démos, deux full concept albums ambitieux  "Tales of the fallen (part I)" et "Tales of the Fallen (part 2) -  The Rise of the Nightstalker."
Le paradis, des anges, des démons, des damnés, des sauvés, des fées... un univers manga quelque peu naïf.
Bonsoir, Bruxelles, vous entendrez un mix des différents albums et pas l'histoire complète contée chronologiquement.
De toute façon on n'avait que le son et pas les images, donc, on s'en bat les glands.
'A little closer to paradise', godv., dur à encaisser ces vocaux voilés, ni growls, ni clean voice, un chant creux, atone, sans  aucune modulation.
Un schéma identique pour 'Natural city', un jeu appliqué et statique.
A première vue le mariole de la troupe c'est Yannick qui prend la peine de présenter les plages en anglais frontalier, il annonce 'I failed', joli son de clavecin, un hic, il n'y a pas de clavecin.
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'The nightstalker' toujours aussi mélodieux, symphonique et mou du bide.
' The Hound from Hell', un digest des clichés inhérents au genre.
Ein, zwei, drei... 'Wolf's Hunt', les bottes sont de sortie, le drummer relaye le serpent au chant, à tes côtés, Hänsel und Gretel entament un exercice de headbanging.
Serpent a un side project, The Nightstalker, voici le titre  'Trouble in my head', pas que dans la tête, dans la glotte aussi!
Un message publicitaire vantant les matelas Beka... Oli, Oli, Oli... et enfin 'Against the anesthetist'.
Oli soit qui mal y pense!
Amen!


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 Agharti.
 

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Le groupe croate aura sauvé la soirée d'un naufrage peu glorieux.
Pour les fans de Female Metal, Agharti constitue une aubaine, deux jolies filles, Tina ( vokal) et Iva ( klavijature) et des mâles connaissant leur job, Alen ( gitara, growls) - Poha ( gitara) -  Grubač ( bas gitara)  et Marko ( bubnjevi).
La veille ils jouaient au B52, ce soir Bruxelles aura vibré aux sonorités de leur melodic gothic metal  ne déniant pas les riffs de guitare hargneux et les cris de guerre à la  Arch Enemy.
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'Intro' suivi par  ' The Silence of Guilt', le professionnalisme du groupe de Zagreb impose d'emblée le respect, quant au chant de Tina ( à la Lacuna Coil), un réel soulagement après l'insipide filet du chanteur de Sercati.
Ils enchaînent sur une des plages de leur album 'Change' nommée 'Awaken', awaken, nous le sommes tous, pas mal DSC03171.JPGde langues mâles pendent bas en ne perdant pas Tina de vue.
'The sky is falling' puis une cover musclée  d'Apocalyptica ' Path', le public est conquis.
Quelques éléments symphoniques décorent le tout aussi percutant 'To a friend' .
Tension extrême durant 'End of your domination' , guitares et claviers se querellent, la rythmique tisse un mur sonore en béton, Iva et Alen au chorus soulignent le chant mordant de Tina Bukić.
 Hänsel und Gretel ont repris leur numéro, imités par une dizaine d'autres clients.
Pas de temps mort, 'Mendacity', ' Away from here'...save me... implore la belle enfant, je vide mon verre, j'appelle Jolly Jumper et j'arrive... , puis ' Fallen', en duo vocal, la belle et la bête.
Oui, tu peux avancer Delain, Evanescence, Lacuna Coil, Epica...Agharti est de la même veine.
Toujours sur leur LP, 'Words unspoken' puis une cover, 'The only one'... non pas la panade de  Sam Smith.
Brussels, let you go on the techno beats of  'Rise again', Bruxelles se laisse aller, sont quinze à se transformer en body-tamponneurs, la frêle Manon, 42 kilo, prend des risques, son voisin affiche  près du triple sur la balance.
On se calme avec 'Lost' pour regagner le front avec ' Shut your mouth' de Pain, petit tour dans le public pour Alen, tiens, Alberto, le micro, chante, grand!
Merci, Bruxelles.
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Enthousiasme général et 'Enjoy the silence' de Depeche Mode en bis.
Quoi, une petite liqueur?
Ok, une dernière pour la route!
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Le 23/12,  Agharti sera au  Mala Scena - Karlovac, Croatia.

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20 décembre 2014 6 20 /12 /décembre /2014 14:31

Mitch ZoSo Duterck

 

Run4Cover - Maison des Jeunes de Marche-en –Famenne 2014.12.20

Line up :

Arnaud (guitares, lead vocals)
Julien (guitares et backing vocals)
Florian (Drums)
Randy Lee (Bass, Backing vocals)
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Très belle et louable initiative que celle prise par les membres de la Maison des Jeunes de Marche-en-Famenne en ce samedi de décembre. Ils organisaient un concert ( Concert HOTTE'N'ROLL - concert de Noël) dans le but d’offrir des jouets aux enfants qui n’en n’ont pas ou dont les parents ont très peu de moyens pour leur en offrir.
Au lieu de s’acquitter d’un droit d’entrée en euros sonnants et trébuchants on nous demandait d’apporter un jouet ou 10858062_10152957868099301_7031123920632928523_n.jpgun jeu de société en bon état, c’est original et ça fait preuve d’un grand cœur.
Une petite salle bien décorée au couleurs de la Noël, des jeunes et moins jeunes tous sympas, des boissons à un prix démocratique et un ingé-son très compétent, tout était réuni pour que cette soirée qui allait voir de succéder 4 artistes se passe pour le mieux et ce fut le cas. Il était 21.45 quand Run4Cover, l’objet de mon intérêt, prit possession de la scène.
Le soundcheck laissait déjà présager que ce jeune groupe avait quelque chose de particulier. Un guitariste qui chante « Gare au gorille » de Brassens et un bassiste qui poursuit avec la « Java Bleue » laissent présager d’une bonne dose d’humour et d’une culture musicale très étendue et surtout éclectique.
Le quatuor formé cette année s’articule autour de la section rythmique du défunt « Wicked Ways » qui connut un succès d’estime en son temps avec un mini LP de très bonne facture. Randy Lee (Basse) et Florian (Batterie) se sont adjoint les services de Justin et de Arnaud, tous deux guitaristes. Premier concert et déjà un beau succès en 1ère partie de Cover Age en Mars dernier.
Je les revoyais ce samedi avec une certaine dose d’excitation, j’avais envie que ce concert soit un peu comme mon cadeau sous le sapin et je ne fus pas déçu le moins du monde.
On est en mode cool, d’accord mais ça attaque très fort d’emblée avec le « Search and Destroy » d’Iggy and the Stooges.

 Aucun des quatre musiciens n’était né lorsque l’Iguane prêchait l’Anarchie du côté de Detroit et pourtant ils ont compris le message, c’est couillu et ça sent le souffre. On enchaîne avec ' Tick Tick Boom' des Hives  suivi de « Brianstorm » des Arctic Monkeys qui ont l’heur de plaire au public en majorité jeune faut-il le dire. Ca joue juste, pas trop, fort, les chants sont bons et le groupe semble avoir gagné en maturité et en homogénéité depuis quelques mois.
On va faire un petit coucou aux Vines avec le titre « Ride » et puis après un petit speech à l’humour Monty Pythonesque de Randy nous voici plongé en plein cœur de « First Date » de Danko Jones.

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Très beau Rock’n’Roll Queen des Subways et puis hop, grand bond dans le temps à nouveau avec une très belle version personnelle du « Sympathy For The Devil » des Rolling Stones. On sent immédiatement qu’il ne s’agit pas d’un simple cover copié/collé et insipide, non, ce quatuor a parfaitement intégré l’esprit des golden sixties et c’est tant mieux pour nous. Les soli de guitares sont courts, nets, précis, pas d’esbroufe même si la technique est là, on le sent. « Times Like These » et un grand coucou aux Foo Fighters de Dave Grohl dont on ne peut pas nier une certaine ressemblance avec le bassiste du band, c’était encore plus frappant lorsque celui-ci portait les cheveux longs.
Soirée pleine d’humour et un groupe qui ne se la joue pas prétentieux ; les quatre musiciens ont coiffé un bonnet de père Noël, Mère Noël pour Randy et on communique avec le public dans une bonne humeur et une convivialité qui baignera toute la soirée. Retour chez les Arctic Monkeys avec « I Bet You Look Good On The Dancefloor ». Viennent ensuite deux titres bien punk-rock made in USA avec "All The Small Things " de Blink 182 et "The Kids Aren’t Alright” de The Offspring.
On termine cette heure de concert qui est passée aussi vite que l’express de 23.00 qui ne s’arrête plus à l’ancienne gare de Marche-en-Famenne avec le ravageur « I Wanna Be Your Dog » des Stooges qui sent la poudre et le venin. On avait même l’impression d’entendre les aboiements d’Iggy Pop, planqué derrière un rideau quelque part dans la salle.
En 12 morceaux, le quatuor a séduit l’assistance, naturellement, sans forcer. Bravo à Run4Cover, un jeune groupe qu’on pourrait très vite voir jouer un peu partout tant ils en valent la peine. Une petite chose à faire : intégrer d’autres styles de reprises pour enrichir l’ensemble et ce sera top. Et… pourquoi pas des compos les gars ?

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 Mitch ZoSo Duterck

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20 décembre 2014 6 20 /12 /décembre /2014 13:37

Review by Ioana Nica / Photos by JP Daniels

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 Concours Circuit, one of the Belgian competitions for young talented bands, took place this Saturday, December 20 in Botanique. Five finalists, which previously won eliminatory and semi-final phases, battled in the final with short concerts, each of 30 minutes, alternatively on Rotonde and Orangerie. At the end, a jury chose the winner.

 

The finalists: Forest Bath, MAW // SITT // SII, Mambo, Thyself, Alaska Gold Rush

 

 Forest Bath

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People were still arriving when the first group started on the stage of the Rotonde. Forest Bath is a trio coming from Brussels, lead by a super artistic and ultra feminine figure, Joanna Lorho. It is to be said that among her other many creative endeavors, she has studied music and is playing the piano as well. They have started on time and the drops of piano sound fall upon the seated audience, soon to be asked to stand up to make place for more coming spectators. In her music, Joanna Lorho reveals highly emotional gloomy feelings. Her voice teams-up best with her piano but also with the very skilful cello playing of Corentin Dellicour. There was also percussion, a bit of guitar, trumpet and live looping, all to create a dreamy ambiance, with a dark and melancholic aesthetic. A very beautiful live act.

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Prize won: Prix Musictown (30hrs of studio rehearsal in a professional studio)

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MORE INFO:

https://soundcloud.com/forest-bath

https://www.facebook.com/thisisforestbath

 

 MAW // SITT // SII

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For the second band, everybody moved in Orangerie for a different type of ambience. MAW // SITT // SII had 3 sets of percussion on stage to make sure that at any moment some one was playing the drums. Combining post-rock with electronic music, they have an interesting sound, constructed with care for details and composition, and very coherent in spite of the multitude of elements, from disco, indie, tribal to rock and heavier resonances. Their performance was flawless.

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Prizes won: Prix t-heater (a performance at Trix Antwerp) and Prix Poppunt (a performance at ProPulse)

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MORE INFO:

https://www.facebook.com/mawsittsii

https://soundcloud.com/maw-sitt-sii


 Mambo

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My favorite band of the evening and number two winners was Mambo. Although described as math rock, they are definitely much more than mathematical rhythms or very skilful players. They are a four-piece band extremely natural on stage, with enormous delight of playing together and a great sense of humor. They did not come to win, they came to play and that’s the best rock’n’roll attitude ever. A fully instrumental performance but with enough blast, movements and change of directions to keep the spirit up until the end of the (too short) 30 minutes recital. One more gem coming from the rich Liège rock scene to perform and conquer the audience of Brussels.

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Prizes won:

Second prize: 1000 euros

Prix Lasemo (presence in the festival line-up)

Prix Bruxelles-Les-Bains

 

Prix Alhambra

Prix Rockerill

Prix Ca Balance (1 day of recording and 1 day of mix with a professional sound engineer)

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MORE INFO:

https://www.facebook.com/mambobertier

 

 

 

 Thyself

Alternative Rock from Louvain-La-Neuve, Thyself offer a dual musical scenery: soft, gentle at the beginning of the songs, to evolve afterwards into something more dynamic and energetic. The main focus is on the sound (the members are sound engineers themselves) but it leaves the song composition on a secondary place. Very good voice for this genre, use of double microphone, good use of the 90s alternative bands influences as Radiohead or Portishead.

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Prizes won:

Prix Belvédère

Prix Les Aralunaires (presence in the festival line-up)

 

 

MORE INFO:

http://www.facebook.com/Thyselfmusic

 

 

 Alaska Gold Rush

 

And the winner is … Alaska Gold Rush. The duo from Brussels managed to win the minds of the jury and the heart of the audience with their universe of a complete original mixture of delta blues, country music, rock’n’roll and folk. And all this just with two instruments. A fabulous drummer Alexandre De Bueger, able to create melody on his kit and a guitar player reminding of the skiffle style, Renaud Ledru. An excellent 30 minutes journey into American music and they left home more than 10 prizes.

 

 

Prizes won:

 

Grand prix: 2000 euros + a live session

Prix Club Plasma (750 euros)

Prix Pure fm (live session )

Prix Dour Festival (presence in the festival line-up)

Prix Les Ardentes Festival (presence in the festival line-up)

Prix Bucolique festival (presence in the festival line-up)

Prix Bruxelles-Les-Bains (presence in the festival line-up)

Prix Alhambra

Prix Eden

Prix VNYL+Biplan (4 touring dates in the North of France)

Prix Roland (400 euro voucher)

 

MORE INFO:

https://www.facebook.com/alaskagoldrushmusic

http://alaskagoldrush.bandcamp.com/

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Conclusion

Finale du Concours Circuit was definitely a success. Many prizes and an audience which became sometimes too big for the two venues in Botanique. I only wonder whether a jury of almost 60 people is not too much though. And also why there was no band to play between the end of the event and the winners’ announcement, when the jury retired to deliberate.

 Nevertheless, a beautiful evening.

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19 décembre 2014 5 19 /12 /décembre /2014 19:07

Le billet de JPROCK :
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Ah les  Nits !
Le trio batave se pose en groupe talentueux dont on devient addict à vie dès qu’on a la chance de les voir en concert.
Car là où n’importe quel band propose une idée, The Nits nous en offre une multitude, orchestrées dans des compos géniales d’une précision diabolique dont chaque arrangement est une dentelle musicale ciselée avec talent et inventivité.
Le trio hollandais est sans nul doute LE groupe inclassable le plus talentueux de sa génération …
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Récit d’une soirée magique et parfaite en tous points et sans la moindre faute de goût.
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C’est devant une AB en mode théâtre flex que les Hollandais montent sur scène sur le coup de 20h30.
D’emblée dès les premières mesures de « Radio Shoes » qui ouvre le bal on bénéficie d'un son magistral et d’un lightshow somptueux, et on se dit que les trois hommes vont nous gratifier d' un spectacle total d’une précision digne d’une horloge suisse.
Puisant dans un répertoire où chaque perle succède à une autre plus précieuse encore, Henk Hofstede (guitares, harmonica , claviers et voix ) Rob Kloet ( drums et backing vocals) et Robert Jan Stips ( claviers, piano et lead et backing vocals) sont indissociables et témoignent d’une cohésion musicale si pointue et huilée qu’on n' imagine pas un seul moment le groupe privé d’une de ses trois individualités.
L’osmose est totale au sein de cette machine de guerre bourrée de sensibilité et d’émotion qui nous transporte dans un univers magique où chaque note a sa place et où chaque son semble être un rouage indispensable au bon fonctionnement d’une boîte à musique étonnante à la finesse diabolique.
Et lorsque qu’en troisième titre les hollandais attaquent « Nescio « on se dit que pour proposer un tel chef-d’oeuvre après moins d’un quart d’heure de concert il doit leur en rester pas mal sous le pied.
En effet...
« Boy in a Three « nous enchante, « Schwebebahn » , « Soap Bubble Box » et « Office at Night « nous transportent de plaisir avant que « The Train « ( ah cette rythmique ! ) et « Cars and Cars » ne nous emmènent réellement au septième ciel.
La voix de Henk parfaite dans son interprétation, le jeu diablement précis et presqu' irréel de Rob aux drums et les notes de piano aériennes d’une limpidité troublante de Robert Jan nous ensorcellent et nous mettent la larme à l’oeil.
Impossible de ne pas être conquis à moins d'être sourd !
Car la magie des Nits réside dans cette faculté de transcender chaque titre, de lui donner ses lettres de noblesses sans jamais puiser dans le déjà vu.
Le groupe crée et innove constamment et s’épanouit encore jour après jour, car après 40 ans de carrière la joie de jouer est toujours présente et transpire par chaque pore de leur peau.
« Adieu Sweet Bahnhof » est repris en choeur par la foule, « A Touch of Henri Moore » déconcerte toujours avec bonheur l’auditeur, puis l’enchaînement « Dapperstreet » / « Port Of Amsterdam » clôture avec classe un set magistral.

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La salle est debout et l’ovation est immense.

Le public en veut plus c’est évident, et le sourire aux lèvres les trois hommes reviennent pour un bis avec « The Swimmer » et « In The Dutch Mountains » dans une version qui nous laisse K.O.

Deux autres rappels suivront ensuite devant une audience aux anges qui passerait bien la nuit entière à écouter ce groupe magistral au répertoire inépuisable.

On a droit à « J.O.S. Days » puis ensuite à « Aloha Drums « et à une étonnante reprise des Beatles avec « Tommorrow Never Knows « en guise d’au revoir .
Plus de 120 minutes de grâce et de bonheur.
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En bord de scène Henk, Rob et Robert Jan saluent caméra à la main , filmant l’enthousiasme de ce public fidèle qui depuis plusieurs décennies est présent au rendez vous.
Un grand moment d’émotion qui rassemble artistes et public dans une belle communion sincère.

Une fois de plus les Nits ont démontré qu’il sont un groupe majeur de l’histoire du rock et que leur seul tort afin d' accéder à une énorme notoriété fut sans doute d’être hollandais.
Gageons que s’ils étaient nés en Angleterre ou aux USA ils seraient devenus énormes.
Allez comprendre…
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Mais pour nous tous qui les aimons et ne ratons pas une occasion de vivre les moments magiques de leurs prestations live magistrales, ils sont et resteront toujours un étincelant diamant que l’on garde précieusement dans un bel écrin au fond de notre coeur.
Amen !
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Texte et photos : Jean-Pierre Vanderlinden aka JPROCK.

Setlist :
Radio Shoes
dAdAdA
Nescio
Ting
Boy in a Tree
Schwebebahn
Soap Bubble Box
Office at Night
The Train
Cars & Cars
The Panorama Man
Ice Princess
Bike in Head
Adieu Sweet Bahnhof
Think It Over
Christine's World
A Touch of Henry Moore
Dapperstreet
Port of Amsterdam
Encore:
The Swimmer
In the Dutch Mountains
Encore 2:
J.O.S. Days
Encore 3:
Aloha Drums
Tomorrow Never Knows
(The Beatles cover)

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19 décembre 2014 5 19 /12 /décembre /2014 09:35

Warning: this is not a countdown. Not a Top 20.

 

 ArchitectsLost Forever // Lost Together

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Genre: Metalcore

 

"The past is dead!”

Metalcore is a genre on which the commercial exploitation of the early 2000s stuck plenty of clichés to the point where the original scenery couldn’t be recognizable anymore in the modern scene elements. And it’s probably the genre with the most obvious battle between having good productions and commercial success.

Despite the title, the latest Brighton four-piece’s album might just confirm that in the year 2014 the battle has not been lost. On the contrary.

Instead of adventuring into uncharted territories in search for another marketable formula, they grabbed everything they had so at hand and have perfected it. An album that stays melodic without losing its aggressiveness. No compromise, just setting the bar higher.  

Lost Forever // Lost Together was recorded in Sweden and benefits from the production of Fredrik Nordström, propelling the British Architects in the genre's top acts, next to In Flames, Arch Enemy or At the Gates.

 

 

Tracklist

Gravedigger

Naysayer

Broken Cross

The Devil Is Near

Dead Man Talking

Red Hypergiant

C.A.N.C.E.R

Colony Collapse

Castles in the Air

Youth Is Wasted On The Young (featuring Murray Macleod of The Xcerts)

The Distant Blue

 

 Personnel

Sam Carter – vocals

Tom Searle – guitars, keyboards

Alex Dean – bass

Dan Searle – drums, programming

Additional personnel

Murray MacLeod – additional vocals on "Youth Is Wasted On The Young"

Randy Slaugh – string production, arrangement and engineering

Jen Allen, Emily Rust, Ariel Loveland – violin

Mark Shipley, Julie Slaugh, Kelsey Georgeson – viola

Elizabeth Clarke, Michael Rollins – cello

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18 décembre 2014 4 18 /12 /décembre /2014 17:46

Warning: this is not a countdown. Not a Top 20.

 

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Machine Head - Bloodstone and Diamonds

 

Machine Head has been constantly around since 1991, delivering good album after good album, never letting down and offering exactly what it’s expected from them. Plus more.

 

 The album is full of masterpieces which either bring back the strong violent sound of Burn My eyes like Killers and Kings, either come with the specific anger and strength of Machine Head sound, like Eyes of the Dead, Ghosts Will Haunt My Bones or Night of Long Knives. The soft sweet string opening of Now We Die announces some songs which are not necessarily heavy metal like Sail into the Black or Damage Inside, still powerful enough not to break the strongness of the record. The violent social message is not left out on this album either, in the end it’s all about “The true nature of human nature”.

 

 

A solid album which allows them to consistently move forward.

Once more, Machine Head know what they are doing.

 

MACHINE HEAD - Bloodstone and Diamonds (OFFICIAL ALBUM STREAM)

 

 https://www.youtube.com/watch?v=PJKReRPG5tM

 

Tracklist

Now We Die   Flynn

Killers & Kings

Ghosts Will Haunt My Bones

Night of Long Knives

Sail into the Black 

Eyes of the Dead 

Beneath the Silt 

In Comes the Flood 

Damage Inside 

Game Over

Imaginary Cells

Take Me Through the Fire 

 

 

Personnel

Robb Flynn – lead vocals, guitar

Phil Demmel – guitar, backing vocals

Jared MacEachern – bass, backing vocals

Dave McClain – drums

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18 décembre 2014 4 18 /12 /décembre /2014 16:31

Tandis que les derniers attablés finissent leurs moules/vin blanc, offertes ( c'est une première)  par la direction et que  Ginger Cosmo balance son mélange rafraîchissant aux saveurs airelles/vodka, tu te commandes une Duvel en attendant le début du concert.

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Au menu du Bar du Matin, du maatjes funk en provenance de Mokum Alef  sur Amstel:  The Jig!

Le septet est né en 2009, a fécondé par deux fois, 'Brooklyn Blowout', en 2011, et 'Aargh' en 2013, ils promettent een nieuwe single pour début 2015.

Certains membres du combo ont accompagné  ou fait partie de groupes ou de backing bands de stars d'Outre-Moerdijk dont Caro Emerald, Hans Dulfer, The Upsessions ... , ils ont pour nom ( d'après une récente bio):

Luuk Hof - trumpet | Jeroen van Genuchten - tenor sax | Koen Schouten - baritone sax | Bas Grijmans - keys | Martijn Smit - guitar | Arry Niemantsverdriet - bass | Niels van Groningen | drums.

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Vers 21:25, les Amstellodamois en piste, ils  ont décidé d'abreuver le bar avec leur instrumental funk  enthousiaste et enthousiasmant.

Sur fond grésillant, ils ouvrent avec 'Balls', titre adéquat, car des balls ils en ont et pas de la taille d'une olive, un nom te saute à l'esprit, Average White Band, les Ecossais responsables des indémodables 'Cut the cake' ou 'Pick up the pieces'.

DSC03077.JPGUne fausse fin, reprise du thème, digression de Bas à l'Hammond, puis de purulents tchik tchik tchik envoyés par le petit Martijn... tasty stuff!

  Koen, en français au goût de hareng, on ne joue que des compos originales, voici 'Bike ride'.

Du r'n'b dégoulinant comme le concoctaient leurs compatriotes il y a une éternité, Swinging Soul Machine  "Spooky,s Day Off", c'était génial!

C'est la basse bien ronde qui amorce 'Larry' virant white funk, quelques vocalises Peter Frampton du guitariste, et un ballet de cuivres.

Ils enchaînent sur 'The One', le un pour Attila!

Et maintenant..

Oui, Gilbert?

' Wheels',... t'as bu ou quoi corrigent les copains, 'Afrique Aan' staat er geschreven.

Juste!

Une envolée Jingo-lo-ba à la guitare, un funk rock qui a réussi à attirer sur la piste une vingtaine de nanas pas mal roulées.

La locomotive tourne à plein régime à présent, voilà 'Wheels'.

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' Schlomi's apartment'/ ' Po'Boy', une amorce 'Il silencio'  , un nocturne à la veille de Noël, on attend Nat King Cole ou DSC03061.JPGDean Martin, boum, boum, boum... trois coups de baguettes, changement de cap, du boogie/ragtime/groove sautillant.

On leur fait le coup du marching band?

C'est Mardi-Gras, décidément, il n'y a plus de saisons, les cuivres s'en vont sur la chaussée, traversent l'espace comptoir et jouent une aubade aux barmaids avant de regagner leur poste initial.

'Zoot' pour le saxophone player du Muppet show, enchaîné sur 'Pressure planet', un groove sidéral.

Le dancefloor affiche complet , on nous propose' Duck it' et son soul clapping, l'ombre de James Brown plane.

Toujours en mode sweaty stuff après un démarrage chaotique, une compo signée par un pote brésilien  ' Jorge Leigh'.

Pause commerciale, 10€ le CD, 15 pour les deux!

Attention l'épidémie guette, voici 'Fever'.

Où se niche le pharmacien de garde, ils sont nombreux à être atteints.

Le baritone sax sort un mégaphone de son sac de voyage, un titre scandé 'Sweat in the Butt Crack', mêmes épices que la cuisine des Meters.

Puis vient ' Buffalo', c'est impressionnant une cavalcade de bisons.

Le gig prend fin avec ' Super', aux relents fusion.

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Il est 22:35', le Bar exige un bis.

Faut éviter l'émeute, The Jig réapparaît et propose une spécialité du rosse buurt ' Flowers and Hookers', suivie par 'Big Boy' et  pour mettre un terme à cette brillante prestation , ' Jiggle Tiggle'.

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18 décembre 2014 4 18 /12 /décembre /2014 11:08

Mary Frierson, stage name Wendy Rene ( suggested by Otis Redding) est partie pour le grand voyage ce 16 décembre.

Une des voix soul de chez Stax, elle débute comme des centaines d'autres comme gospel singer dans une église honorant la church of God in Christ fondée par Elder Charles Harrison Mason.

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Premier groupe:  The Drapels, avec un frangin et des amis.

Ils sont signés chez Stax, bien vite Mary was given a solo deal.

Un premier single "After Laughter (Comes Tears)", avec Booket T à l'orgue, puis "Bar-B-Q", featuring the guitar of Steve Cropper.

Les singles ne se vendent pas trop, elle continue pourant à sortir des disques tout en devenant vocaliste pour des géants de l'écurie: Rufus Thomas et Otis Redding.

Elle aurait dû se trouver dans l'avion qui s'est planté le 10 décembre 1967, tuant Otis et plusieurs membres des Bar-Kays , elle était enceinte et avait décliné l'offre.

Wendy Rene décide de quitter la musique, elle réapparaîtra sur scène en 2010 pour un show au Ponderosa Stomp.

The singer, who was 67, died after a stroke.

 

 

Larry Henley  

C'est en tant que membre des Newbeats qu'il se fait connaître en 1964 grâce au tube 'Bread and butter', le falsetto c'était lui.

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Plus tard il se lance avec succès  dans le songwriting: 'Til I Get It Right' de Tammy Wynette ( co-écrit avec Red Lane) - 'Lizzie and the Rainman' ( Tanya Tucker) - 'Is it still over' ( Randy Travis) - 'Wind Beneath My Wings' ( Bette Middler) ne sont que quelques exemples...

He was inducted into the Nashville Songwriters Hall of Fame in 2012.

Larry est décédé le 18 décembre, Parkinson et Alzheimer, il avait 77 ans.

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