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  • : Bienvenue sur Concerts-Review, le blog des critiques de concerts. Nous mettons en ligne quelques critiques subjectives des concerts auxquels nous assistons. N'hésitez pas à nous contredire à travers vos commentaires.
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30 octobre 2011 7 30 /10 /octobre /2011 22:18

Un concert de  Lenny Kravitz est un évènement en soi qui attire toujours la grosse foule.
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C'est donc devant un Sportpaleis bondé que  Raphael Saadiq ouvre les hostilités avec une bonne demi-heure edit_preview.php-copie-54.jpgd'avance sur l'horaire annoncé. Je n'ai donc pu assister qu'à la moitié de son set mais ce que j'en ai vu a confirmé tout le bien que je pensais du natif d'Oakland à l'écoute de ses albums.
Une bonne voix, une présence scénique incontestable, un band plus qu'efficace de cinq musiciens et une choriste pour l'épauler en live, Raphael a livré une excellente prestation clôturée de main de maître par la reprise de "Let the Sunshine in" tiré de l'Opera rock 60's Hair. Le public ravi lui a fait un triomphe.


La salle était donc chauffée à blanc pour accueillir l'Américain aux lunettes noires.
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A 21h30 Lenny Kravitz déboule sur scène et attaque "Come and get it".
Pendant près de deux heures il va nous convier à un show best of au son de classiques de son répertoire comme "Always on the Run", "American Woman", "It ain't over til' it's over", "Mr Cab Driver", "Black & White America", "Fields of Joy"," Stand by my woman", "Believe", "Stand", "Rock n roll is dead" et "Rock Star City Life" avant qu'un dernier quart d'heure de folie ne nous achève avec"Where are we runnin", "Fly Away" et un "Are you gonna go my way" d'anthologie qui verra TOUT le Sportpaleis debout frapper des mains.

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Retour on stage pour un rappel constitué d'un "Belong to you" livré en version acoustique en bord de scène avant un "Let Love Rule" interminable qui permettra à la star de se balader dans le public du Sportpaleis pendant de longues minutes. La boucle était bouclée avec ce titre de 1989 qui le révéla au public.
Mention spéciale au band qui une fois de plus fut impeccable, drivé par Craig Ross son fabuleux et fidèle guitariste et une Gail Ann Dorsey à la basse en attente d'une hypothétique prochaine tournée avec David Bowie.
Un concert agréable, d'une efficacité redoutable, mais sans surprise pour celui qui avait déjà assisté ces dernière années à un show du chanteur-guitariste new-yorkais.

JPROCK

 

 

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